Images aléatoires
Soumise ou Amante
Mardi 17 mars
2
17
/03
/Mars
09:51
Mon doigt se glisse en elle avec délice, je fouille sa chatte...mon doigt se sent seul dans ce sexe plus
qu'ouvert. Je n'ai aucun mal à entrer deux doigts dans son sexe. Dès qu'elle les a en elle, elle tend son ventre en avant. Nos yeux ne se quittent pas, dès que je vois sa volonté faiblir je la
reprends et de suite elle refixe son regard dans le mien...Les faibles lueurs de l'éclairage public me permettent de me rendre compte du plaisir qui vient.
Son ventre suit le rythme de mes doigts, je les fait aller et venir lentement en elle, je découvre ce sexe chaud qui se laisse pénétrer sans difficulté. Je la sens s'approcher dangeureusement du plaisir...son corps est tendu, sa respiration devient courte et les râles de plus en plus longs.
Je sors mes doigts de son sexe, je les tends à ses lèvres. Avant même que je lui demande de les sucer elle se précipite dessus. Je n'ai jamais eu une amante aussi gourmande de son jus, sa langue s'agite en tout sens pour récupérer tout ce nectar. Je retire mes doigts. La fraicheur s'installe dans la voiture, il est temps de lui donner du plaisir.
"Gourmande comme tu es je me demande si je te confierais mon sexe..."
Elle laisse échapper un oh de surprise...
"Laurent...ne me tente pas...je..."
Elle ne finit pas sa phrase, mon doigt s'est posé sur son bouton et commence à le titiller. Automatiquement son corps se cambre sous la caresse, en peu de temps je la sens se tétaniser sous le plaisir...Son silence est impressionnant...le plaisir est là, elle se mord les lèvres se tend encore plus.
"Regarde moi quand tu jouis..." le ton est ferme et direct, mais le résultat n'est pas là...elle est perdue dans son plaisir. Je la laisse profiter pleinement de la caresse sans relever son indiscipline.
Elle part, ses cuisses se referment sur ma main, j'ai juste le temps de glisser mon doigt en elle. Doucement son corps s'apaise, sa tête vient se poser sur mon épaule.
"Tu es fou Laurent...tu es fou..."
Fou, je ne sais pas...mais très satisfait de cette soirée. Je la sers dans mes bras, la cajole...Nous prenons conscience de l'heure et du froid, il y a presque une heure que nous sommes dans la voiture. Elle remonte sa culotte et son pantalon. Le silence est pesant.
"Je ne suis pas fou, nous avions envie de cela tous les deux...il n'y a rien de grave, nous sommes des grandes personnes..."
"Je suis mariée...je n'avais jamais fait cela...et ce que je t'ai dit...je ne me reconnais pas...mais que c'était bien..."
Quelques banalités plus tard, je regagne ma voiture et nous nous séparons pour quinze jours de vacances. En roulant je me pose la question de savoir sur quoi cela peux déboucher, est elle capable d'être soumise à mes désirs, mais surtout est il raisonnable d'avoir une amante sur son lieu de travail. La réponse est simple, tout dépendra de sa capacité à se soumettre...et de sa volonté de poursuivre cette relation naissante.
Son ventre suit le rythme de mes doigts, je les fait aller et venir lentement en elle, je découvre ce sexe chaud qui se laisse pénétrer sans difficulté. Je la sens s'approcher dangeureusement du plaisir...son corps est tendu, sa respiration devient courte et les râles de plus en plus longs.
Je sors mes doigts de son sexe, je les tends à ses lèvres. Avant même que je lui demande de les sucer elle se précipite dessus. Je n'ai jamais eu une amante aussi gourmande de son jus, sa langue s'agite en tout sens pour récupérer tout ce nectar. Je retire mes doigts. La fraicheur s'installe dans la voiture, il est temps de lui donner du plaisir.
"Gourmande comme tu es je me demande si je te confierais mon sexe..."
Elle laisse échapper un oh de surprise...
"Laurent...ne me tente pas...je..."
Elle ne finit pas sa phrase, mon doigt s'est posé sur son bouton et commence à le titiller. Automatiquement son corps se cambre sous la caresse, en peu de temps je la sens se tétaniser sous le plaisir...Son silence est impressionnant...le plaisir est là, elle se mord les lèvres se tend encore plus.
"Regarde moi quand tu jouis..." le ton est ferme et direct, mais le résultat n'est pas là...elle est perdue dans son plaisir. Je la laisse profiter pleinement de la caresse sans relever son indiscipline.
Elle part, ses cuisses se referment sur ma main, j'ai juste le temps de glisser mon doigt en elle. Doucement son corps s'apaise, sa tête vient se poser sur mon épaule.
"Tu es fou Laurent...tu es fou..."
Fou, je ne sais pas...mais très satisfait de cette soirée. Je la sers dans mes bras, la cajole...Nous prenons conscience de l'heure et du froid, il y a presque une heure que nous sommes dans la voiture. Elle remonte sa culotte et son pantalon. Le silence est pesant.
"Je ne suis pas fou, nous avions envie de cela tous les deux...il n'y a rien de grave, nous sommes des grandes personnes..."
"Je suis mariée...je n'avais jamais fait cela...et ce que je t'ai dit...je ne me reconnais pas...mais que c'était bien..."
Quelques banalités plus tard, je regagne ma voiture et nous nous séparons pour quinze jours de vacances. En roulant je me pose la question de savoir sur quoi cela peux déboucher, est elle capable d'être soumise à mes désirs, mais surtout est il raisonnable d'avoir une amante sur son lieu de travail. La réponse est simple, tout dépendra de sa capacité à se soumettre...et de sa volonté de poursuivre cette relation naissante.
Vendredi 13 mars
5
13
/03
/Mars
07:33
Je fais aller et venir mes doigts dans sa bouche...sa main vient se poser sur mon poignet pour accélerer le
mouvement...je ne peux m'empêcher d'imaginer le plaisir que j'aurais lorsque ce sera mon sexe qui prendra cette bouche impatiente...douce perspective...
Il est temps de revenir à son sexe, je retire ma main, badigeonne son visage de sa salive, la félicite pour son bon goût...
"ta bouche est extraordinaire...vivement que mon sexe la découvre..."
Elle sourit, semble rougir...
"ne me demandes pas cela maintenant Laurent...pas ici...mais je veux gouter à ton sexe...il doit être beau..."
Joignant le geste à la parole, sa main se pose sur mon entrejambe, elle constate que je ne suis pas indifférent à notre petit jeu. Je n'en crois pas mes oreilles, une femme qui paraît si rangée
en apparence et qui me promet de s'occuper de mon sexe, quel bon moment...Il est temps que je lui rende le plaisir qu'elle me donne...
Je prends sa main qui doucement commencais à jouer avec mon sexe...
"pas ce soir...je suis d'accord avec toi...ce soir c'est toi qui a droit au plaisir..."
Je pose sa main sur son sexe, ma grosse main vient la recouvrir et doucement je commence à masser son sexe humide...Sa main est chaude, à peine cette caresse commencée que les petits râles
s'échappent de nouveau de sa bouche, je deviens un peu plus brusque, j'enserre ces lèvres et je les malaxe, je les étire...elle répond à ce geste en tendant son ventre, les râles
s'intensifient...j'insiste un peu, je tire sur les lèvres, je les maintiens étirer...
"regarde moi..."
Le ton est redevenu directif, je dois répeter avant qu'elle ouvre les yeux et se tourne vers moi, elle est au bord du plaisir...je libère ses lèvres, avec un doigt j'ouvre doucement sa chatte.
Quel joli bruit lorsque mon doigt pénètre dans son sexe, doucement, lentement...
Dimanche 1 mars
7
01
/03
/Mars
15:28
Je n'ai pas attendu pour aller la rejoindre et je ne l'ai pas regretter. A peine assis sa jambe est venue se
coller à la mienne, elle était bien agitée n'arrêtant pas de se frotter. Je me suis retenu de poser ma main sur sa cuisse, ne voulant pas lui faire croire que je me laissais faire par son
manège
Le repas passa vite, nous avions tous un peu hâte de rentrer, il commençait à se faire vraiment tard. Dans le bus qui nous ramenait à l'entreprise le silence était impressionnant. Je réflechissait à la suite que je souhaitais donner à cette soirée. J'avais très envie de tester son excitation. Enfin arrivé sur le parking où nous avions laissé nos voitures, tout le monde se disait au-revoir et se souhaitait de bonnes vacances. De bises en bises j'arrivais vers elle...deux bises et un petit mot dans l'oreille...
"Suis ma voiture..."
Je n'attendais pas de réponse mais à voir son sourire je compris qu'elle suivrait.
J'attendis un peu que le parking se vide, et en avant pour la fin de soirée. Je vois une voiture qui me suit, je prends la première rue à ma droite, je fais quelques mètres pour m'éloigner de la grande rue et je me gare, la voiture derrière moi fait de même. Je sors de ma voiture et m'approche de la porte passager de l'autre voiture, elle m'ouvre et je m'installe.
A peine assis que sa bouche vient se coller sur la mienne pour un baiser plus que fougueux.... ses mains caressent mon visage...les miennes son corps....palpent ses petits seins avant de descendre vers ses cuisses. Elle ôte une de ses mains de mon visage et essaye de chasser ma main qui commençait à lui ouvrir les jambes.
Je lui écarte la main, me retire de son baiser avec peine et lui murmure d'un ton ferme :
"Laisse toi faire...ouvres toi..."
Ce coup-ci c'est moi qui l'embrasse avec fougue pour ne pas lui laisser le temps de répondre, ma main force sur sa cuisse qui s'ouvre...je peux enfin accéder à son entrejambe que je devine très excité. Ma main se pose sur le tissu et je commence à aller et venir avec force...elle se glisse sous elle allant à l'orée de ses fesses...mes doigts se referment sur le tissu et son sexe...doucement son bassin commence à suivre le mouvement...Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je m'attaque au bouton et à la fermeture du pantalon.
"Non...Laurent...Non...je dois rentrer..."
"Je t'ai dit de t'ouvrir...tu as envie d'avoir du plaisir alors laisse toi faire...ouvres toi..."
Tout en parlant mes doigts avaient commencé à ouvrir le pantalon et à se glisser dans la petite culotte de la dame...sa toison est douce au toucher...ça y est je suis sur le haut de ses lèvres... Elle est excitée au plus haut point, juste le contact de mon doigt la fait frissonner de désir...son ventre se contracte...
"Soulève toi que je te déculotte..."
Elle m'aide à descendre son pantalon et sa culotte...
"Donnes moi du plaisir Laurent, j'ai envie, prends moi..."
Je peux enfin découvrir son sexe...les vetements et l'inconfort de la voiture réduise ma vue...mais je sens sous moi une douce toison, de belles lèvres entre'ouvertes...mon doigt se glisse sans mal dedans...Elle est chaude et humide...chaque mouvement lui arrache de petits râles...mon doigt ouvre son sexe, un deuxième le rejoint...Ils remontent vers son petit bouton que je découvre bien saillant...ils l'effleurent...les râles s'intensifient si bien que je retire mes doigts...
"Calme toi, c'est moi qui décide quand tu peux jouir..."
Je l'embrasse de nouveau...puis mes doigts viennent remplacer ma bouche...elle les accepte sans broncher, se délecte de son goût...
Le repas passa vite, nous avions tous un peu hâte de rentrer, il commençait à se faire vraiment tard. Dans le bus qui nous ramenait à l'entreprise le silence était impressionnant. Je réflechissait à la suite que je souhaitais donner à cette soirée. J'avais très envie de tester son excitation. Enfin arrivé sur le parking où nous avions laissé nos voitures, tout le monde se disait au-revoir et se souhaitait de bonnes vacances. De bises en bises j'arrivais vers elle...deux bises et un petit mot dans l'oreille...
"Suis ma voiture..."
Je n'attendais pas de réponse mais à voir son sourire je compris qu'elle suivrait.
J'attendis un peu que le parking se vide, et en avant pour la fin de soirée. Je vois une voiture qui me suit, je prends la première rue à ma droite, je fais quelques mètres pour m'éloigner de la grande rue et je me gare, la voiture derrière moi fait de même. Je sors de ma voiture et m'approche de la porte passager de l'autre voiture, elle m'ouvre et je m'installe.
A peine assis que sa bouche vient se coller sur la mienne pour un baiser plus que fougueux.... ses mains caressent mon visage...les miennes son corps....palpent ses petits seins avant de descendre vers ses cuisses. Elle ôte une de ses mains de mon visage et essaye de chasser ma main qui commençait à lui ouvrir les jambes.
Je lui écarte la main, me retire de son baiser avec peine et lui murmure d'un ton ferme :
"Laisse toi faire...ouvres toi..."
Ce coup-ci c'est moi qui l'embrasse avec fougue pour ne pas lui laisser le temps de répondre, ma main force sur sa cuisse qui s'ouvre...je peux enfin accéder à son entrejambe que je devine très excité. Ma main se pose sur le tissu et je commence à aller et venir avec force...elle se glisse sous elle allant à l'orée de ses fesses...mes doigts se referment sur le tissu et son sexe...doucement son bassin commence à suivre le mouvement...Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je m'attaque au bouton et à la fermeture du pantalon.
"Non...Laurent...Non...je dois rentrer..."
"Je t'ai dit de t'ouvrir...tu as envie d'avoir du plaisir alors laisse toi faire...ouvres toi..."
Tout en parlant mes doigts avaient commencé à ouvrir le pantalon et à se glisser dans la petite culotte de la dame...sa toison est douce au toucher...ça y est je suis sur le haut de ses lèvres... Elle est excitée au plus haut point, juste le contact de mon doigt la fait frissonner de désir...son ventre se contracte...
"Soulève toi que je te déculotte..."
Elle m'aide à descendre son pantalon et sa culotte...
"Donnes moi du plaisir Laurent, j'ai envie, prends moi..."
Je peux enfin découvrir son sexe...les vetements et l'inconfort de la voiture réduise ma vue...mais je sens sous moi une douce toison, de belles lèvres entre'ouvertes...mon doigt se glisse sans mal dedans...Elle est chaude et humide...chaque mouvement lui arrache de petits râles...mon doigt ouvre son sexe, un deuxième le rejoint...Ils remontent vers son petit bouton que je découvre bien saillant...ils l'effleurent...les râles s'intensifient si bien que je retire mes doigts...
"Calme toi, c'est moi qui décide quand tu peux jouir..."
Je l'embrasse de nouveau...puis mes doigts viennent remplacer ma bouche...elle les accepte sans broncher, se délecte de son goût...
Vendredi 27 février
5
27
/02
/Fév
14:52
Le repas se poursuit, ma main regagne la table mais elle garde sa jambe collée à la mienne. J'ai du mal à
participer à la conversation générale, mon esprit s'égare...comment vais je finir l'après-midi...dois je pousser plus loin...dans quel but...avoir une amante très peu pour moi, encore plus au
bureau...peut elle devenir soumise...Je décide de tenter le coup.
C'est l'heure de la remise des cadeaux aux enfants, je me retire donc dans mon bureau pour réfléchir et préparer la suite de la soirée. En partant je lui ai demandé de me rejoindre au plus tôt. Elle se fait attendre mais elle arrive finalement souriante et rougisseante. Elle reste sur le pas de la porte, je la regarde sans rien dire...finalement elle rompt le silence...
"Ta main est forte...je sens encore sa chaleur sur ma cuisse...j'ai aimé que tu me répondes..."
Je lui confirme que j'ai apprécié sa réaction et que j'ai senti son envie...
Notre repas de noel doit se terminer par un spectacle sur Paris et un dernier diner dans une brasserie...je lui propose de prolonger un peu le diner ensemble en allant prendre un verre. Elle sourit, ne répond pas et repart vers le spectacle...je la rappele, elle se retourne...
"je viens de te proposer quelque chose, j'attends ta réponse..."...mon ton est ferme...
"je ne sais pas...Laurent...je ne suis pas comme cela d'habitude..."
"je te demande une réponse...oui ou non...rien de plus..."
Elle est surprise par mon insistance...
"non...je ne peux pas Laurent..."
Le choc est rude mais je ne laisse rien paraître...
"pas de problème...j'aime que les choses soient claires..."
Du coup le spectacle est vraiment inintéressant...je songe même à m'eclipser àl'entracte mais je décide de rester...Nous arrivons à la brasserie, encore une fois je m'attarde à l'apéritif...Nous sommes une petite dizaine à trainer et elle est là avecune de ses collègues qui la presse de rejoindre les autres...Elle finit son verre et me lance..
"Je te garde une place Laurent?"
C'est l'heure de la remise des cadeaux aux enfants, je me retire donc dans mon bureau pour réfléchir et préparer la suite de la soirée. En partant je lui ai demandé de me rejoindre au plus tôt. Elle se fait attendre mais elle arrive finalement souriante et rougisseante. Elle reste sur le pas de la porte, je la regarde sans rien dire...finalement elle rompt le silence...
"Ta main est forte...je sens encore sa chaleur sur ma cuisse...j'ai aimé que tu me répondes..."
Je lui confirme que j'ai apprécié sa réaction et que j'ai senti son envie...
Notre repas de noel doit se terminer par un spectacle sur Paris et un dernier diner dans une brasserie...je lui propose de prolonger un peu le diner ensemble en allant prendre un verre. Elle sourit, ne répond pas et repart vers le spectacle...je la rappele, elle se retourne...
"je viens de te proposer quelque chose, j'attends ta réponse..."...mon ton est ferme...
"je ne sais pas...Laurent...je ne suis pas comme cela d'habitude..."
"je te demande une réponse...oui ou non...rien de plus..."
Elle est surprise par mon insistance...
"non...je ne peux pas Laurent..."
Le choc est rude mais je ne laisse rien paraître...
"pas de problème...j'aime que les choses soient claires..."
Du coup le spectacle est vraiment inintéressant...je songe même à m'eclipser àl'entracte mais je décide de rester...Nous arrivons à la brasserie, encore une fois je m'attarde à l'apéritif...Nous sommes une petite dizaine à trainer et elle est là avecune de ses collègues qui la presse de rejoindre les autres...Elle finit son verre et me lance..
"Je te garde une place Laurent?"
Jeudi 26 février
4
26
/02
/Fév
15:58
Après cette journée un peu particulière je me mets à voir cette femme d'un oeil neuf, j'ai découvert un physique
plus qu'agréable, un caractère bien trempée et une envie de perfection qui me plait beaucoup. Son silence après ma sortie sur la punition me déconcerte. Mais je ne peux m'empêcher de penser à un
vieux proverbe breton, jamais dans le diocèse...et je crains d'aller plus loin avec une collègue de bureau.
Tout s'accélère lors de notre repas de fin d'année organisée par notre service communication...pour rapprocher le personnel ils décident d'attribuer à chacun une table. Le hasard fait que nous sommes à la même table. D'un naturel festif je m'attarde avec quelques collègues à l'apéritif avant de rejoindre ma table et là je découvre avec joie qu'elle m'a gardé une place à ses côtés. Je l'en remercie vivement et je l'entends me répondre que nos réunions quotidiennes lui manque...
Le dejeuner partait très bien...la discussion reste professionnelle mais son pied vient souvent taper le mien et doucement c'est son genou qui vient se coller au mien. Je ne bronche pas, je vois qu'elle s'impatiente, elle attend un encouragement...je finis par poser ma main sur sa cuisse. Elle se raidit malgré elle, s'arrête de parler en pleine phrase, cherche ses mots, sourit et reprend le fil de la conversation comme si rien ne se passait....Mais ma main l'oblige à écarter sa jambe....je sens la gêne monter, la résistance venir. Elle me regarde troublée...je relache sa cuisse, elle retire sa jambe...Je profite de son verre vide pour lui demander si elle en veut encore avec un beau sourire et undiscret clin d'oeil...le message est clair et il est bien compris...sa cuisse revient se frotter contre ma jambe...ma main se repose dessus et va se positionner à la limite de son entre jambe...Heureusement qu'il fait chaud dans la salle et que le vin a pas mal coulé...sa rougeur passe mieux...
Tout s'accélère lors de notre repas de fin d'année organisée par notre service communication...pour rapprocher le personnel ils décident d'attribuer à chacun une table. Le hasard fait que nous sommes à la même table. D'un naturel festif je m'attarde avec quelques collègues à l'apéritif avant de rejoindre ma table et là je découvre avec joie qu'elle m'a gardé une place à ses côtés. Je l'en remercie vivement et je l'entends me répondre que nos réunions quotidiennes lui manque...
Le dejeuner partait très bien...la discussion reste professionnelle mais son pied vient souvent taper le mien et doucement c'est son genou qui vient se coller au mien. Je ne bronche pas, je vois qu'elle s'impatiente, elle attend un encouragement...je finis par poser ma main sur sa cuisse. Elle se raidit malgré elle, s'arrête de parler en pleine phrase, cherche ses mots, sourit et reprend le fil de la conversation comme si rien ne se passait....Mais ma main l'oblige à écarter sa jambe....je sens la gêne monter, la résistance venir. Elle me regarde troublée...je relache sa cuisse, elle retire sa jambe...Je profite de son verre vide pour lui demander si elle en veut encore avec un beau sourire et undiscret clin d'oeil...le message est clair et il est bien compris...sa cuisse revient se frotter contre ma jambe...ma main se repose dessus et va se positionner à la limite de son entre jambe...Heureusement qu'il fait chaud dans la salle et que le vin a pas mal coulé...sa rougeur passe mieux...
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