"J'ai envie, Laurent...j'ai envie de toi...maintenant..."
"Mauvaise réponse..." Une claque s'abat sur ses fesses...Je sens une certaine tension monter en elle, elle se demande ce qu'elle fait là en string et bas devant moi. Il est temps de changer
de tactique.
Je me rapproche d'elle, l'embrasse, la serre dans mes bras...
"Il est trop tôt pour te faire goûter à mes petits jeux..restons en là pour l'instant..."
Je l'améne doucement vers le lit, elle s'allonge, je lui enlève son string et je viens lécher son sexe encore chaud d'excitation...Très vite, trop à mon goût, la jouissance arrive...Pendant
qu'elle récupère je me déshabille et me glisse avec elle dans le lit...Je la prends dans mes bras, guide une de ses mains vers mon sexe...
"Tu es attendue à l'étage du dessous..." Elle sourit et se glisse sous les draps pour aller goûter à mon sexe. Sa caresse est hésitante, de petits va et vient du bout des lèvres, une langue qui
court le long de mon sexe...Je me sens obligé de la guider...ma main se pose sur sa tête...
"Prends le dans ta bouche..."
Je commence à aller et venir dans sa bouche, elle s'enhardit, suit le mouvement, sa langue court de partout...Voilà une fellation digne de ce nom...elle commence à prendre de plus en plus de
plaisir, le rythme s'accélère, sa bouche se fait de plus en plus acceuillante.
Je prends mon temps, savoure ce doux moment...sa bouche est goulue, j'aimerais qu'elle me garde plus en bouche...je la préviens que je sens la jouissance venir, elle retire sa bouche de mon sexe
et me libère en me masturbant sans ménagement.
Nous voici apaisés tous les deux, au chaud dans le lit, silencieux...je finis par rompre le silence pour la remercier du plaisir qu'elle m'a donné...aussitôt elle se tourne vers moi et repose sa
main sur mon sexe...
"J'ai envie que tu me fasses ce que tu voulais faire tout à l'heure...je ne dirais rien, je te suivrais...juste pour ton plaisir..."
Sa main est douce sur mon sexe et je ne suis pas insensible à cette caresse...je lui raconte par le menu ce que
j'envisageais pour elle, elle rougit parfois, sourit souvent...J'insiste sur le fait que c'est cela qui m'intéresse et pas une banale aventure extra-conjugale. Je parle de contraintes, de
rigueur, d'obligations, d'offrandes...elle manifeste sa surprise mais sa main reste ferme sur mon sexe.
Je décide de retester sa capacité à se soumettre, un ton ferme s'impose...
"Lève toi, tu te mets face au miroir jambes écartées, mains dérrière la tête"
Je retire sa main de mon sexe en parlant et la pousse hors du lit. Elle va d'un pas hésitant prendre sa place en baissant les yeux.
"Regarde toi, sois fière de ton corps"
Qu'elle est longue à réflechir. La discussion a eu lieu un jeudi et nous sommes déjà le lundi suivant, pas de
nouvelles. J'en suis à me dire que je l'ai effrayé et que jamais mon sexe n'ira se perdre dans sa joli bouche.
Mais le mercredi je la vois venir vers mon bureau, elle frappe sur le montant de la porte, demande si elle peux déranger...nettement mieux comme attitude..je l'invite à s'installer sur une des
chaises du bureau...
J'entame la discussion, lui demande comment elle va et laisse le silence s'installer...Je la regarde dans les yeux, très vite elle les baisse. Je me régale, je laisse la gêne s'installer...
Il est temps de rompre le silence :
"Si tu n'as rien à me dire, j'aimerais que tu me laisses, j'ai pas mal de boulot en ce moment.."
Elle relève la tête :
"Tu sais bien pourquoi je suis ici, ce n'est pas facile après ce que tu m'as dit l'autre jour...Je ne sais pas si je suis celle que tu crois...mais j'ai envie de tenir ma promesse au
moins..."
Voilà un discours plus qu'intéressant, j'ai du mal à contenir ma joie de l'entendre me dire cela.
"Tu sais que tenir ta promesse n'est qu'une partie de ce que j'attends de toi...il faut que tu veuilles vivre d'autres pratiques que la fellation"
"Mais je ne connais rien, je ne sais pas de quoi tu parles...si tu m'apprends je veux essayer mais je ne veux pas être brusquée"
"OK, alors tu te libères pour jeudi midi et l'après-midi..."
Je trouve son oui très empressé...j'hallucine un peu, ai je autant de chance que cela...
Le jeudi arrive vite, je lui ai communiqué l'adresse du restaurant et l'heure, à 5 minutes se niche l'hôtel qui m'a abrité pendant mon célibat géograohique. Un contre-temps de dernière minute et
j'arrive en retard, elle attend devant le restaurant. Je note avec plaisir qu'elle a mis une jupe et qu'elle est dans un état de stress terrible. Il est temps de la rassurer sur ce que j'attends
d'elle. Le repas se passe tranquillement, nous prenons notre temps.
Je lui parle beaucoup, elle écoute avec attention, pose peu de question et grignote plus qu'elle ne mange. J'insiste sur le plaisir qu'elle aura à m'être soumise, sur le fait que je
respecterais toujours sa volonté. Nous parlons des limites à ne pas franchir. La conversation devient cru, elle rougit souvent mais je la sens prête à franchir le pas.
"Prête à te donner à mes envies?"
"Oui, plus que prête...tu es fou mais je vais te suivre"
Nous arrivons à la chambre d'hôtel, dès la porte franchie elle se jete à mes lèvres pour un baiser passioné. Je
réponds à sa fougue, laisse mes mains glisser vers ses fesses, remonte sa jupe et commence à caresser son cul juste embelli par un petit string.
Elle a eu la délicatesse de mettre des dim-up. La caresse est douce d'abord, puis je m'enhardis, je malaxe ses jolis fesses, les écarte, les pince, je risque deux trois claques. Sa bouche ne
reste pas inactive. Elle a envie, cela est sûr.
Les vacances de Noel se passent tranquillement avec leurs cortèges de visites à la famille et aux amis. Le
réveillon arrive, un réveillon très sage qui va s'égayer grâce à cette nouvelle mode des voeux par SMS...Au milieu des nombreux SMS reçus, j'en remarque un un peu particulier, un numéro que je ne
connais pas mais des initiales et une texte qui me parlent.
"Meilleurs voeux pour 2009, je tiens toujours mes promesses."
Que répondre à ce beau message...
"Merci pour tes voeux, j'aurais du te faire promettre plus. Santé, bonheur et plaisir pour 2009"
Commence alors un échange de SMS qui dure jusqu'à la rentrée des travailleurs que nous sommes. Je peux apprécier au cours de ces échanges son humour, son envie de sexe et son énergie. Cela laisse
présager un retour au boulot plus qu'agréable.
Maintenant il va falloir que je l'amène vers les jeux de soumission. Je ne sais trop comment procéder, le contexte du boulot ne me permet pas autant de liberté qu'avec ma charmante commerciale
d'il y a une dizaine d'années (Cf les articles sur Sophie dans la rubrique Moi). Je décide de la laisser venir à moi, de lui laisser l'initiative de la reprise du contact.
A ma grande joie, c'est ce qu'elle fait sans tarder. Malheureusement pour elle j'ai décalé mon retour de quelques jours et ces messages s'accumulent sur ma messagerie. Si bien que lorsque je reprends elle arrive comme une furie dans mon bureau et me lance :
"Tu pourrais répondre lorsque l'on te laisse des messages...j'ai du t'en laisser une dizaine au moins...cela signifie quoi ce silence..."
Quel aubaine de la voir ainsi énervée, je vais pouvoir jouer un peu avec elle. Je me lève en silence, ferme mon bureau.
"Bonjour d'abord, je vois que tu es en forme...moi aussi d'ailleurs...maintenant tu te calmes de suite, je ne
suis pas ton petit copain et je n'ai pas envie de me faire agresser de bon matin par une furie. Nous avons pris du bon temps, j'ai bien l'intention d'en prendre encore avec toi mais les règles
c'est moi qui les impose, pas toi."
Les mots ne sont sûrement pas les mêmes que ceux employés ce matin-là, mais le fond est le même. Je ne la
laisse pas reprendre la parole, je continue le monologue en profitant pour lui exposer ma vision de notre possible relation. Complicité, tolérance, discrétion et soumission. J'insiste sur la
soumission, employant plusieurs fois le mot, définissant son rôle, être un objet de plaisir à ma disposition. Je l'interromps plusieurs fois lorsqu'elle veut poser des questions, un simple "tais
toi et écoute" au départ qui devient vite "tais toi, tu parles lorsque je te le demande désormais".
Je vois que mon discours la laisse un peu abasourdie. Je l'invite à aller réflechir sur mes envies dans son bureau. J'ajoute en lui ouvrant la porte :
"Si tu veux des précisions, je te propose de déjeuner ensemble un midi et de tenir ta promesse ensuite...tu sais où me joindre"
Les dés sont jetés, j'ai profité de l'aubaine de sa mauvaise humeur...ai je bien fait ?
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