Qu'elle est longue à réflechir. La discussion a eu lieu un jeudi et nous sommes déjà le lundi suivant, pas de
nouvelles. J'en suis à me dire que je l'ai effrayé et que jamais mon sexe n'ira se perdre dans sa joli bouche.
Mais le mercredi je la vois venir vers mon bureau, elle frappe sur le montant de la porte, demande si elle peux déranger...nettement mieux comme attitude..je l'invite à s'installer sur une des
chaises du bureau...
J'entame la discussion, lui demande comment elle va et laisse le silence s'installer...Je la regarde dans les yeux, très vite elle les baisse. Je me régale, je laisse la gêne s'installer...
Il est temps de rompre le silence :
"Si tu n'as rien à me dire, j'aimerais que tu me laisses, j'ai pas mal de boulot en ce moment.."
Elle relève la tête :
"Tu sais bien pourquoi je suis ici, ce n'est pas facile après ce que tu m'as dit l'autre jour...Je ne sais pas si je suis celle que tu crois...mais j'ai envie de tenir ma promesse au
moins..."
Voilà un discours plus qu'intéressant, j'ai du mal à contenir ma joie de l'entendre me dire cela.
"Tu sais que tenir ta promesse n'est qu'une partie de ce que j'attends de toi...il faut que tu veuilles vivre d'autres pratiques que la fellation"
"Mais je ne connais rien, je ne sais pas de quoi tu parles...si tu m'apprends je veux essayer mais je ne veux pas être brusquée"
"OK, alors tu te libères pour jeudi midi et l'après-midi..."
Je trouve son oui très empressé...j'hallucine un peu, ai je autant de chance que cela...
Le jeudi arrive vite, je lui ai communiqué l'adresse du restaurant et l'heure, à 5 minutes se niche l'hôtel qui m'a abrité pendant mon célibat géograohique. Un contre-temps de dernière minute et
j'arrive en retard, elle attend devant le restaurant. Je note avec plaisir qu'elle a mis une jupe et qu'elle est dans un état de stress terrible. Il est temps de la rassurer sur ce que j'attends
d'elle. Le repas se passe tranquillement, nous prenons notre temps.
Je lui parle beaucoup, elle écoute avec attention, pose peu de question et grignote plus qu'elle ne mange. J'insiste sur le plaisir qu'elle aura à m'être soumise, sur le fait que je
respecterais toujours sa volonté. Nous parlons des limites à ne pas franchir. La conversation devient cru, elle rougit souvent mais je la sens prête à franchir le pas.
"Prête à te donner à mes envies?"
"Oui, plus que prête...tu es fou mais je vais te suivre"
Nous arrivons à la chambre d'hôtel, dès la porte franchie elle se jete à mes lèvres pour un baiser passioné. Je
réponds à sa fougue, laisse mes mains glisser vers ses fesses, remonte sa jupe et commence à caresser son cul juste embelli par un petit string.
Elle a eu la délicatesse de mettre des dim-up. La caresse est douce d'abord, puis je m'enhardis, je malaxe ses jolis fesses, les écarte, les pince, je risque deux trois claques. Sa bouche ne
reste pas inactive. Elle a envie, cela est sûr.
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